Pour être breton, il faut aimer la mélancolie et même la tristesse infinie et même cette désespérance dont le coeur est pourtant l’espérance…
Pour être breton, il faut aimer la mélancolie et même la tristesse infinie et même cette désespérance dont le coeur est pourtant l’espérance…
février 28, 2008 à 3:55 |
nul ne peut se passer de la mélancolie dans certaines situation
mars 20, 2008 à 12:15 |
Euit beza vreton, ret eo karout ar melkoni kement an dristidigezh didermen ha kement ar dizesper-se, ar galon anehañ o chom koulskoude ar c’hoanag…